Bajac, militaire français, dates inconnues.
Anciennement attaché au service des renseignements, le commandant Bajac – sur lequel nous ne parvenons à trouver aucun renseignement et qui semble inconnu des archives de la Défense – vint trouver Dreyfus à la fin de janvier 1900 pour l’informer des relations qu’entretenaient Henry et Esterhazy. Il lui certifia que les deux compères travaillaient de concert pour le contre-espionnage et qu’ils profitaient de cette situation pour renseigner l’étranger. Ce témoignage, impossible à vérifier, resta sans suite.
Sources et bibliographie : Dreyfus, Carnets 1899-1907, p. 85.
Philippe Oriol