Bernard, madame.
Madame Bernard, dont nous ignorons tout, vint, au début de l’année 1895, trouver la famille du capitaine pour, prétendant vouloir se venger du Service des renseignements auquel elle avait collaboré, lui fournir des documents émanant du traître à la place duquel le capitaine avait été condamné. Redoutant un piège, Mathieu lui proposa de passer par l’intermédiaire d’un notaire. Madame Bernard demanda à réfléchir et ne revint jamais (Mathieu, p. 53-55).
Philippe Oriol